Une voiture qui a beaucoup de valeur au Japon.
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Les Ami 6 et les Ami 8 furent importées dans les années 1960 jusqu’en 1970, année durant laquelle des règles d’importation plus protectionnistes virent le jour.
Les importations officielles d’Ami 6 étaient alors des spécifiques à la France. Citroën avait noué un partenariat avec l’importateur japonais Nichifutsu Jidosha pour les DS depuis 1958 (plus d’infos ici).
Dès 1969, le montage de répétiteurs de clignotants ont été obligatoires sur tous les véhicules, et notamment ceux qui étaient importés. Les répétiteurs « Koito » ont alors dû être installés et aujourd’hui ils sont couramment montés sur la plupart des Ami au Japon.
Photo 1 : cette Ami 6 break est une importation de Citroën France en 1969, et elle est toujours en circulation après 45 ans.
Dans les années 2000, on comptait seulement 20 ou même moins d’Ami, arrivées au Japon par le biais d’importateurs ou de démarches personnelles. Depuis leur nombre a augmenté jusqu’à plus de 40 voitures avec des Ami 6 berlines et breaks, des Ami 8 berline et break, des Ami Super berline, break, des M35 et une Ami 8 break Familiar espagnole !
Photo 2 : de gauche à droite , une Ami 8 berline de 1970 d’importation officielle (avec les répétiteurs « Koito »), une Ami 8 berline de 1975 (la mienne) et la Citroen 8 Familiar de 1976 (la seule au Japon !).
Photo 3 : la plaque d’immatriculation japonaise par-dessus la plaque française d’origine.
Les voitures arborant les deux plaques sont des véhicules importés par des ressortissants de l’Union Européenne.
A savoir qu’au Japon les numéros peuvent être choisis par le propriétaire.